Collection Soumise. Fille De… (8/16)

Mariane m'a permis de réussir ma mission sans s’en rendre compte, les relents de vin chaud ayant levé ses défenses, qu’elle aurait certainement eues en temps normal, étant loin d’être une jeune fille bête.
En acceptant un cadeau de 3 200 €, elle vient de s’obliger à coucher avec eux, aucun homme même le plus grand des philanthropes ne fait un tel présent à une fille sans en attendre un remerciement en retour.
Que peut offrir une jeune fille à un homme mûr qui lui témoigne un tel intérêt, surtout ne la connaissant pas un quart d’heure auparavant ?
Je le sais trop bien, depuis que j’ai perdu mon pucelage, Pierre me comble de cadeaux, telle ma voiture pour Noël.

• Tu as conscience, que tu vas devoir y passer, quand tu m’as dit que tu sentais ton avenir si tu allais voir l’horloge frapper ses dix-huit coups, c’était une prémonition, dix-huit ans, dix-huit coups.
• J’ai compris, dix-huit ans, dix-huit coups sur la cloche, dix-huit coups dans ma chatte, nous sommes deux, acceptes-tu de diviser par deux, neuf coups chacune ?
• Eux aussi sont deux, je vois mal, l'un regarder l’autre s’occuper de toi, indirectement en lui permettant de mettre sa carte bancaire dans le lecteur, tu m’as impliqué, je suis comme toi, je vais assumer.
Attention, il va falloir les prévenir de ton handicape dû à ta jeunesse, certains hommes ont peur à la vue , je le sais, une copine à la fac s’est trouvée deux fois dans cette situation, elle a failli rester traumatisée.

C’est à table devant une bonne choucroute arrosée de Riesling que nous dégustons ce plat typique de la région, la tête ailleurs.
Mariane a repris place sur terre, le Riesling étant cuit n’amplifie pas sa soûlographie.
Antoine couve des yeux Mariane et Luc me fait du pied sous la table, nous apprenons qu’ils sont mariés, mais que lorsqu’ils nous ont vus, quelque chose est arrivé dans cette église et qu’ils ont eu envie de nous connaître plus profondément.


Profondément c’est le cas de le dire.

• Nous sommes à l’hôtel à côté, nous aimerions vous offrir le champagne.
• Non, Luc, nous prends-tu pour des prostituées qui montent dans la chambre de leurs clients, Mariane, rendent leur le manteau, je récupère la voiture et nous rentrons à Obernai.
• Non, Jessika, tu m’en demande trop.
• As-tu du champagne chez toi ma belle ?
• Oui, papa en a toujours des bouteilles dans sa cave qui sont toujours à température.
• Messieurs, voici ce que je vous propose, nous récupérons nos voitures, je suis garé sur le parking de la cathédrale.
• Nous, dans le parking de notre hôtel cinq étoiles à deux pas.
• Mariane suit Antoine, vous allez récupérer leur voiture, nous avec Luc la mienne, attendez-nous devant votre hôtel, tu me guideras et nous retournerons vous retrouver.
• C’est parfait, Antoine emmène-moi jusqu’au bout de la nuit.

Toujours aussi guillerette qu'elle l'était ce matin, mon amie, je suis sûr d’avoir les scènes sur la vidéo, parfaites de cul quand la petite se fera déflorer qui va plaire à mes mentors, quand je dis que je suis chanceuse.

• Stop, pas si vite, Monsieur, mon amie est vierge, Antoine, outre ta carte qui vient de chauffer, tu sembles avoir un regard avec plein d’intention pour ma belle au manteau de cuir, acceptes-tu d’être le premier ?

Une seconde d’hésitation.

• On vous a fait confiance vous signalant que nous sommes des hommes mariés, quand j’ai connu Babette, Luc était son amant et l’avait dépucelé, il est parti un temps avec une autre et je l’ai récupéré.
Je n’ai pas connu le plaisir de la faire femme, Mariane, te faire femme, sera un honneur, allons-y, faisons comme Jessika nous propose, nous apprécions que vous soyez des jeunes femmes sachant vivre avec votre époque.

Antoine et Mariane partent, Luc, me prend par le bras caressant mon sein au passage, se penchant vers moi, me parlant à l’oreille.


• Et toi, belle ténébreuse, à ton regard, je pense que tu es loin de ton pucelage, je crois que tu sais où diriger ta vie, je sens que l’on va passer un bon moment, comme l’a dit mon copain, un petit coup de canif à mon contrat de mariage n’est pas pour me déplaire.

Nous atteignons ma voiture, récupérons l’autre voiture, une Audi coupée sport, ça sent le pognon ces mecs-là.
Ils me suivent, dans le rétro, malgré la nuit, je vois que Mariane à sa tête posée sur l’épaule de son séducteur, je suis rassurée, pour ma part, je conduis d’une main, masturbant mon voisin ayant fait sortir sa queue de son pantalon de l’autre.

• Entrons, je vais chercher le champagne.
• Dis-moi où il est rangé, ainsi que la porte de ta cave, hors de question que je te laisse descendre l’escalier au risque de tomber et que nous finissions la nuit à l’hôpital, je préfère ta couche.

En parlant, il prend Mariane dans ses bras et lui prend la bouche qu’elle ne lui refuse pas.
Je viens de déclencher la caméra, un homme l’embrassant, surtout un homme d’une quarantaine d’années, bien plus intéressant pour mes commissionnaires, mais je sens que j’ai qu’à laisser faire les choses, la soirée ne peut que bien se terminer.
Antoine remonte.

• Luc, il faudra que les filles te fassent visiter leur cave, Château Mouton Roths, Cheval blanc pour les Bordeaux, Château de Pommard et Romanée Conti pour les Bourgognes Rouges.
J’ai remonté deux bouteilles de Dom Pérignon 2001 cuvée du nouveau siècle, ce ne devrait pas être dégueux.

Le premier bouchon saute, j’embrasse Luc qui m’a déjà à moitié déshabillé, mes seins sont déjà son centre d’intérêt.

• Va t’occuper de mon amie, j’aimerais que vous vous occupiez tous les deux d’elle, je veux qu’elle se souvienne de sa première fois, soyez très tendre avec elle.

Il m’écoute, nous sommes dans la salle, Mariane se retrouve nue sur la table qui quand tout sera finie aura des choses à dire entre notre soirée d’hier et celle que nous commençons.

Je récupère le portable et je film directement sans me cacher, je prends un risque, jusqu’à maintenant ça m’a bien souri.

• Tu nous film ?

C’est Antoine qui allait sucer la chatte de Mariane qui dans le mouvement me voit affalé dans un fauteuil la jambe placée de façon décontractée sur l’accoudoir, montrant ma chatte largement ouverte.

• Si vous êtes d’accord, c’est pour notre amie, elle la gardera en souvenir de son passage à sa vie de femme.

J’ai gagné une nouvelle fois, je vois sa langue entrer dans la chatte que mon amie lui présente, Luc, lui mordiller les seins sa tête bien en évidence fait un signe à la caméra comme s’il me faisait bonjour.
Il se redresse, comme un félin saute sur la table, il s’agenouille les jambes de chaque côté du buste de la petite salope qu’ils sont en train de fabriquer.
Il se saisit de ses seins et les refermant sur sa queue commence à se masturber entre eux.

• Chauffe la bien Antoine, je lui fais une branlette espagnole.

Je commence à en connaitre un bon bout sur les expressions parlant de sexe, mais là j’en apprends une nouvelle.

• C’est bien ma belle soulève ta tête, attend, je t’aide, suce-moi la bite pendant que je me masturbe entre tes seins.

Je zoome au moment où il lui redresse la tête serrant ses seins entre ses cuisses et se masturbant, je film d’une main, l’autre venant caresser mon bouton.
La bouche de la petite salope arrive à mettre son gland entre ses lèvres et après quelques allers-retours, Luc éjacule deux giclées de sperme.
Les lèvres lâchent le gland, la dernière giclée vient zébrer sa figure et termine dans l’un de ses yeux.
Je me lève continuant de filmer, je regarde autour de moi, aucun mouchoir en papier, je film le moment ou ma langue vient en contact avec le sperme que je lèche goulûment, surtout son œil.
La figure relativement propre, je lui prends la bouche encore pleine de sperme, nous partageons ce nectar quand couché sur sa poitrine, je sens que l’on m’empoigne par les hanches,
Luc assis dans mon fauteuil se masturbant afin de reprendre vie, c’est donc Antoine ayant abandonné la chatte de la pucelle, prend la mienne à grand coup de reins.


• Continu Antoine, mais garde tes réserves de foutre pour dépuceler notre amie, elle serait frustrée de rester vierge après les moments torrides qu’elle accepte de vivre.
• Baisez-moi, merci Jessika de me faire connaître tout ça.
• C’est normal quand on accepte un manteau à 3 200 €.

Ce sont les derniers mots que je prononce, des frissons montant du bas de mon dos alors que le système de chauffage rend une douce chaleur.
Je jouis, désarçonnant mon cavalier afin que la nuit continue aussi divinement.

• Vous n’avez pas soif, moi si.

Antoine prend la bouteille et boit au goulot du don pérignon, j’ignore ce que coute une telle bouteille, certainement bonbon, je sens le champagne me couler sur les fesses et la langue de mon amant venir, me nettoyer.
Mariane se redresse lui prend la bouteille et boit à grosses gorgée, l’œil qui la regarde transmet l’intégralité de cette jeune fille de… buvant comme une poivrote à même le goulot.
Elle va vers Luc, verse du champagne sur sa queue et le prenant en bouche, les jambes écartées de façon impudique, lui fait une fellation, chaque fois qu’elle relève la tête pour respirer, elle prend une gorgée et retournant sur le vit, elle laisse couler le champagne qui macule le fauteuil, certainement celui du papa.

• Jessika, peux-tu nous conduire vers sa chambre, Luc, vient, on va apporter la petite sur son lit, on sera plus à l’aise pour la baiser…

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